Derrière un engouement certain pour le vélo, se cache un frein majeur : le vol de vélo. C’est un véritable fléau qui touche toutes les grandes villes françaises et décourage plus d’un cycliste.
Alors que la France accélère sa transition vers des mobilités plus durables, le vélo s’impose de plus en plus comme un mode de transport du quotidien.
Entre 2020 et 2023, les ventes de vélos ont explosé, avec plus de 2,7 millions d’unités vendues en 2022.
Mais c’est aussi un vélo volé toutes les minutes. Selon les derniers chiffres du ministère de l’Intérieur, plus de 400 000 vélos sont volés chaque année en France, soit plus d’un vélo par minute. Et ce chiffre ne reflète qu’une partie du problème : près de la moitié des victimes ne portent même pas plainte, découragées par les faibles chances de retrouver leur bien.
Ces vols ne concernent pas seulement les vélos classiques. Avec l’essor du vélo à assistance électrique (VAE), dont le prix peut atteindre plusieurs milliers d’euros, les vols deviennent plus ciblés, plus organisés et plus coûteux.
Un impact bien plus profond qu’on ne le pense
Les vols ce n’est pas seulement un impact matériel c’est aussi un impact psychologique et sociétal
Perdre son vélo, ce n’est pas seulement perdre un objet. Pour beaucoup, c’est perdre un outil de travail, un moyen de transport quotidien, ou encore un symbole de liberté.
Ce type de perte crée de la frustration, du stress, un sentiment d’insécurité et pousse parfois les victimes à abandonner complètement le vélo.
Et c’est là que le bât blesse : dans une société qui promeut la mobilité douce et active, comment convaincre les citoyens de pédaler plus si leur vélo n’est jamais en sécurité ?
Même les cyclistes les mieux équipés ne sont pas à l’abri. U, chaîne blindée, alarme connectée. Tous ces dispositifs ralentissent, mais n’arrêtent pas les voleurs aguerris. Il suffit de quelques secondes à un professionnel équipé pour forcer n’importe quel cadenas, même les plus robustes.
Quant aux parkings vélo « classiques », souvent ouverts ou peu surveillés, ils offrent peu de garanties réelles. Les gares, les parkings de centres commerciaux ou les rues mal éclairées restent des zones rouges, où le vol est quasi institutionnalisé.
StationREV : des stations sécurisées pour changer la donne
C’est face à cette réalité que StationREV a vu le jour. Notre ambition ? Redonner confiance et envie aux cyclistes de se déplacer à vélo, en proposant des stations sécurisées, design et personnalisable, dédiées au stationnement de vélos.
Nos stations offrent :
- Une sécurité, avec une station qui est fermée et dotéé d’accès contrôlés (digicode, QR code, serrure classique).
- Une gestion via application mobile, pour réserver, ouvrir/femer, ou simplement vérifier la disponibilité en temps réel.
- La possibilité de rentre l’abri autonome en énergie solaire grâce à des panneaux photovoltaïques situés sur le toit
- Une conception durable, puisque chaque stationREV est réalisée à partir de containers maritimes recyclés
StationREV, c’est plus qu’un parking. C’est un maillon essentiel dans l’écosystème de la mobilité active.
Le vol de vélo n’est pas une fatalité. C’est une question d’infrastructures, de services, et de volonté politique. Chez StationREV, on y croit dur comme fer. Et on construit, chaque jour, les outils pour que le vélo ne soit plus un pari risqué, mais une réalité au quotidien.
